C’est avec un Afterwork que APROCOM – Agora des Professionnels de la Communication du Togo, veut relancer ses activités post covid-19. C’est ce qu’a confirmé mercredi à TonAfrique, Marc Kouakani-Assi, le secrétaire général de l’association.
Ceci est un grand retour, après plus de deux ans marqués par quelques activités plutôt menées en ligne, affirme-t-il.
Pour marquer ce retour, explique Marc Kouakani-Assi, l’association donne rendez vous à Knamhouse. C’est ce vendredi 27 mai 2022 à 18h 30. Knamhouse est situé à Tokoin hôpital dans la ruelle en face de CNAO-Centre Nationale d’Appareillage Orthopédique.
Cet Afterwork de APROCOM, se déroulera autour d’un thème évocateur. En ce sens que le sujet fait toujours sensations aussi bien dans le camps des organisateurs d’évènements que dans celui des médias.
Suivez en direct ce 27 mai à 18h30 sur la page facebook de l'#AproCom Agora des Prof de la communication du Togo cet after-work qui signe le retour des activités de l'association en présentiel. visitez la page de l'Agora svp en cliquant sur le lien suivant:https://t.co/TLYztW2xGW pic.twitter.com/tMxIBQTaBe
— Alphonse Ken LOGO (@KenLogo) May 25, 2022
On sait tous que la communication médiatique est déterminante de l’action publique. Et quand les médias togolais sont sollicités à cet effet, des conditions financières sont parfois posées. Ce que de nombreux organisateurs d’évènements, ou responsables communications cernent mal.
Faut-il payer les couvertures médiatiques ?
Définitivement, doit-on payer les couvertures médiatiques ? C’est d’ailleurs la question-thème d’affiche de l’Afterwork d’APROCOM ce 27 mai 2022. Deux éminents journalistes sont invités à se prononcer sur le sujet.
Le premier c’est le directeur du journal Actu Express et Président du Patronat de la Presse du Togo Isidore Akollor. Et le second c’est de Gilles Bocco, formateur et écrivain.
Le débat sera riche, sérieux mais de manière très décontractée, rassure Marc Kouakani-Assi.. Il assure de la « la participation effective des professionnels de la communication. Des étudiants en communication et journalisme et autres « amoureux » de la communication « peuvent aussi y participer ».
« Ceux qui ne pourront pas faire le déplacement auront aussi le loisir de nous suivre en direct sur la page facebook de AproCom ». Ajoute -t-il
Un évènement avec un double sens
L’organisation de cet Afterwork par APROCOM répond à un double sens d’après le secrétaire général.
Primo, détaille-t-il, » il s’agit de la traduction dans les faits d’un des objectifs phares que s’est assigné l’Agora ». Il cite entre autre, la promotion d’une culture professionnelle de la communication des entreprises et des organisations au Togo ».
« Le thème de l’activité en dit long sur cette première lecture qu’il convient d’avoir » insiste-t-il.
Secundo, poursuit Kouakani-Assi, « cet Afterwork marque la reprise en présentiel des activités de l’Agora après la parenthèse des activités en mode webinaire, imposée par la pandémie au covid-19 et les restrictions y afférentes ».
C’est donc déterminé que Saturnin Agbolo-Noamessi, le président de l’actuel bureau, veut redynamiser sa troupe à la faveur d’une reprise progressive des activités. Le secteur de la communication d’entreprises au Togo étant en profonde mutation, avec plusieurs difficultés.
« Nous devons nous remettre très vite au travail pour régulièrement apporter, à travers nos activités, des approches de solutions aux problèmes auxquels les communicants togolais sont régulièrement confrontés ». A indiqué Agbolo-Noamessi
Pour rappel, AproCom est créé le 25 janvier 2014. L’idée des Afterwork est pour cette association des occasions de « retrouvailles dans un cadre moins formel, le temps d’une soirée afin d’apprendre à mieux se connaître ».
C’est aussi des occasions, conclu Saturnin Agbolo-Noamessi, « d’aller à la rencontre d’autres professionnels du métier » pour ainsi dire, « se connaitre, créer et renforcer le réseautage ».
Alphonse LOGO
